A L’AUBE DES PROCHAINES ÉCHÉANCES: communication d’un Monde Avenir et ses partenaires
COMMUNICATION D’UN MONDE AVENIR ET SES PARTENAIRES ASSOCIATIFS SUR L’ENVIRONNEMENT ELECTORAL ACTUEL A L’AUBE DES PROCHAINES ÉCHÉANCES
Le climat socio-politique au Cameroun depuis la fin du premier trimestre et le début du Deuxième de l’année 2024 est assez préoccupant et inquiétant, alors que le pays est rendu à moins d’un an des prochaines échéances électorales. Certaines autorités administratives et responsables gouvernementaux s’emploient à crisper davantage l’environnement sociopolitique.
Le 12 Mars 2024, le Ministre de l’Administration Territoriale (MINAT) Paul ATANGA NJI a rendu public un communiqué menaçant certains leaders et formations politiques de l’opposition qui ont décidé de mutualiser leurs forces autour des alliances, modalité d’expression politique pourtant coutumière dans tout système pluraliste.
Dans ce communiqué, on peut lire :
– ‘’(…) Depuis bientôt 3 mois, certains responsables politiques en quête de notoriété et
Au mépris des textes en vigueur, ont mis sur pied 2 pseudo associations (…)
– (….) Les mouvements dénommés Alliance Politique pour le Changement et Alliance
Pour la Transition Politique au Cameroun ne sont pas des partis politiques au sens de
La Loi n° 90/056 du 19 décembre 1990 portant sur la création des partis politiques.
N’ayant aucune existence légale, ces mouvements clandestins ne peuvent mener aucune activité politique sur toute l’étendue du territoire nationale.
– La qualité de parlementaire ou d’homme politique ne saurait être un passe-droit pour
Défier impunément l’autorité de l’Etat, inciter à la rébellion, tenir des propos outrageant à l’égard des autorités et afficher l’intention délibérer de piétiner en permanence l’ordre public ;
– Toute tentative d’organiser une quelconque activité sous les appellations ATP (Alliance pour une Transition Politique au Cameroun) et APC (Alliance Politique pour le Changement) ou toutes autres dénominations de même type en création, sera désormais considérée comme un casus belli par le MINAT (…)’’.
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